Depuis avril 2017, les Chambres de Métiers et de l’Artisanat (CMA) organisent les examens d’admissibilité taxi.
Les conditions d’aptitude professionnelle sont constatées par la réussite à un examen propre à chaque profession comprenant :
Épreuves d’admissibilité
Épreuves écrites : Tronc commun taxi
A – Règlementation T3P : Expliquer le transport public particulier – Définir le Taxi
B – Gestion : Décrire le statut professionnel du chauffeur de taxi – Définir l’environnement de l’entreprise
C – Sécurité routière : Mettre en œuvre la nouvelle signalisation, savoir appliquer les règles du Code de la route – Gérer les nouvelles dispositions en matière de sécurité.
D – Français : Résumer un texte simple niveau A2 du C.E.C.R.L. – Argumenter et s’exprimer en français pour accueillir la clientèle.
E – Anglais : Traduire et s’exprimer en anglais au niveau A2 du C.E.C.R.L. – Savoir accueillir la clientèle
Épreuves écrites : Épreuves spécifiques taxi
FT – Connaissance du territoire et règlementation locale
GT – Règlementation nationale et gestion propre au taxi
Appliquer la règlementation locale en vigueur – reconnaître le territoire d’exercices de l’activité.
Épreuves pratiques d’admission
L’épreuve d’admission consiste en une mise en situation pratique de réalisation d’une course. Elle a pour objectif d’évaluer la capacité du candidat à assurer, par sa conduite en circulation, la sécurité des passagers et des autres usagers de la route tout en proposant aux clients un service commercial de qualité. L’épreuve pratique comprend une phase de conduite en circulation d’une durée minimum de vingt minutes.
Texte officiel : TITRE II : LES TRANSPORTS PUBLICS PARTICULIERS (Articles L3120-1 à L3124-12) – Légifrance (legifrance.gouv.fr)